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L´alternative c´est possible.
Pour nous il faut une travail qui a un sens, avec des revenus consolidées et avec sécurité sociale.
Une information de la Parti Communiste d'Allemagne
(Deutsche Kommunistische Partei, DKP)

Abruesten

Agenda 2010, c´est la déclaracion de faillite de la politique réformatrice social-démocrate. Bien que travaillant, pauvre. Aujourd-hui engagé, demain viré. Chacun de nous est responsable pour sa salud et doit payer pour cela. Travaillé tout la vie et pauvre dans la vieillesse tout de même. Tout le monde doit sacrificier pour les entreprises et les gens riches. C´est le message du parti social-démocrate et du parti verde dans l´Allemand. En abolirent le système de la solidarité et anéantirent la pensée de la solidarité dans l´esprit des gens.

Ils prétendent:
L´etat social c´est au bout de ses possibilités. C´est pas possible a permettre de la securité social pour tous. On ne peut pas demander les entreprises payer à parité les contributiones a la securité sociale. Des pauvres en travaille c´est au moin meilleur que des gens en chaumage sans emploi.

Le fait c´est:
A partir des années 80 le clivage entre les gens riches "la haut" et les gens pauvres "la bas" se fait plus en plus agrandir. Chaque fois plus d´argent pour peu des gens et moin d´argent pour toujours plus des gens. En consequence plus millionaires et plus des gens en chaumage. "Il faut resulter profitable le presenter une travaille a des personnes sans emploi" dirent ceci-la les que sont a sec. Parce-que ne les conviendra changer le poste de travail chaque annee comme il passe à près de 7 million des gens, la demande a la flexibilité sorte rapidement de leur bouches. Parce ils ne sont pas affecté, ils peuvent parler trés facile de la loi de la protectiún contre les licenciments abusives. Mais pour faire tout cela il faut reduire d´allocation de solidarité et l´aide sociale. Il faut disparaitre le sentiment de la securité au fin que les gens sont prêt a travailler a toutes conditiones. Ainsi se produit un climat social, puisque les liberales du marché changeront l´aide sociale au aumônes et veulent changer les droits acquerís pour la charité, pourtant il en n´existe pas dans une societé, où chacun c´est le concurrent de l´autre. Les démocrates sociales et les verdes de la classe moyenne parlent des "bienfaits" et "mauvais usage" comme si les salaires et la securité social leur referent comme des morceaux de la table des gens riches. "L´envie de la clase des gens riches" détruie la solidarité et la securité sociale. On reproche a les gens, qui sont
déjà jusqu´ au cou dans les dífficultés une mentalité de "s´asssurer contre tous risques"
Le financement de la securité sociale n´est pas venu au bout parce que les assurés exploitan l´etat social, mais tout en contraire parce qu´ils sont les perdantes de la lutte de distribution entre le capital et le travaille.
Le gouvernement et les entrepreneurs ont découverte la pierre philosophale: Les travailleurs et employés payent les taxes pour les conzerns et des gens riches. Pendant une licenciement en masse chasse la prochaine, les revenues des multinationales sont pratiquement sans taxes. Les millionaires qui paient encore des taxes vont changer le conseiller fiscal. La manifestation gouvernemental est payé presque en total de l´argent des employes et de la taxation de leur consommation. Presque deux tiers de la revenue des taxes sont résultant des impôts sur les salaires et de l´impôt sur le chiffre d´affaires, pendant seulement la perte de l´impôt sur les bénefices de societés fait une somme de 23 milliardes d´euros, qui manquent dans le budget d´etat - chaque an.
Avec le abolition de l´impôt sur les fortunes Monsieur Eichel ( ministre des finances dans l´Allemage) fait un cadeau de 15 milliardes d´euros pour les gens riches.

Nous disons:
Pas d´un esprit d´acquis sociaux poussé bien loin des travaillents et employes, retraités es personnes malades.... pese sur l´etat social, mais au contraire les fonds des pensiones, les fonds de investissements les conzernes et les banques avec ses exigences prouve d´être une charge insupportable pour tous les autres forces productif de la societé. Le governement favorise les banques, les conzerns et les gens riche et utilise l´argent des gens travaillant. Pas une manque d´argent et capital marquent la situation, mais un manque de la démocratie et une abundance de la puissance des conzerns et banques sans contrôle. La préservation des systèmes sociales c´est financeable et tout a fait a faire, alors quand on introduit ca contre les interêts du capital. L´affrontement est juste a partir


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